Je le croise encore une fois
et nos regards suivent d’autres voies.
Un nuage sur son épaule dessine une fleur
et mes mains en lierre vers son cœur.

Mais il ne me voit pas.

Et nos ombres s’embrassent,
depuis le ciel on les voit qui s’enlacent.
Le temps qui s’arrête nous offre une promesse,
mais que le soleil file, sitôt elles cessent.

Car il ne me voit pas.