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		 petites morts sans importance & poésie de supermarché 
		  
		  
		la mise à mort 
		  
		  
		
		
		
		Tes mots comme des banderilles 
		et c'est tout mon cœur qui vacille. 
		Quand à genoux, la lumière disparaît, 
		mes yeux n'embrassent plus que la terre 
		et s'égouttent au bord du vide. 
		J'ai perdu l'or, mon trésor 
		contre de l'ocre au creux des mains 
		et dans l'étreinte au final entendu, 
		à l'ombre de ta bouche assassine, 
		je contemple ma mise à mort. 
		
		
  
		
		
  
		
		 
		 
		  
		
		 
		
		
		 
		
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